Lundi le 15 juillet 2002
La sanctification de la famille était une grande conviction de Mère Thérèse de Calcutta, partisane convaincue du principe selon lequel "l'amour commence à la maison". ...Mère Thérèse "était consciente du rythme frénétique de la vie que le monde d'aujourd'hui impose. Et c'est précisément pour cette raison qu'elle invitait les parents à prêter attention à leurs fils, à transformer leur maison en un lieu où n'importe qui puisse connaître l'amour, la paix et la joie. Elle estimait qu'il est très important de consacrer du temps les uns aux autres, d'être présents les uns aux autres, de passer du temps ensemble". En outre, elle croyait "que beaucoup des problèmes du monde d'aujourd'hui consistent en ce manque d'amour et d'attention envers les personnes les plus proches de nous"; du reste, "les saints savent toujours distinguer les choses qui comptent". 2:26:12 PM |
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Saint Bonaventure : À l'égard de la concupiscence qui se trouve en l'homme spirituel comme en tout homme, tu dois rechercher si tu l'as cultivée, si tu la cultives peut-être encore. En voici les signes : 1. D'abord la convoitise de la chair se trahit par un besoin de friandises, de mollesse, de volupté, elle te domine donc si tu recherches les aliments et les boissons délectables, les vêtements et les meubles confortables, les entretiens et les divertissements, sensuels, qu'il est répréhensible d'admettre délibérément, mais dont l'homme spirituel doit désavouer même les premiers mouvements. 2. Ensuite la convoitise des yeux se délecte : à savoir des choses cachées ou secrètes, à avoir des choses précieuses ou chères, à voir des choses belles ou rares, en quoi se manifeste une cupidité, avarice ou curiosité condamnable et préjudiciable à l'homme spirituel. 3. Enfin la convoitise de l'esprit ou orgueil de la vie se retrouve dans le désir de la faveur, dans le goût de la louange, dans l'appétit des honneurs, qui sont choses vaines et rendent vain l'homme, s'il s'y livre; et que tu dois fuir à l'égal du désir charnel. Sur toutes ces tendances, l'aiguillon de la conscience doit stimuler le remords du coeur. À l'égard de la malice recherche si elle t'a dominé ou te domine encore; elle a pour racines : la colère, l'envie, la tiédeur. 1. D'abord la colère se manifeste : par l'émotion, par le geste, par la parole; elle trouble le coeur, elle change le visage, elle s'exhale en clameurs; elle se trahit dans les sentiments, dans les attitudes, dans les actes. 2. Ensuite l'envie se manifeste : par la tristesse du bien d'autrui, par le contentement de son infortune, par la mauvaise grâce à l'assister dans son besoin. 3. Enfin la tiédeur se manifeste : par des suspicions défavorables, par de malignes détractions, par des pensées blasphématoires. Toutes ces formes de la malignité sont donc souverainement détestables et pernicieuses. 1:39:49 PM |
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Le 2 juillet décès de Georgette Faniel, 86 ans, suite à une opération à Montréal. 1:01:32 PM |
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