Dimanche le 9 février 2003
St Michel Febres Cordero (†1910) f.é.c., éducateur, catéchiste, poète et académicien (RS). Francisco Febres Cordero naît dans une famille qui a toujours été très en vue dans la politique en Équateur. Francisco doit surmonter l'opposition de sa famille pour réaliser sa vocation de religieux laïc, le premier de nationalité équatorienne à être reçu dans l'Institut. Le Frère Miguel est un enseignant doué et un étudiant appliqué. Il n'a pas encore vingt ans quand il publie le premier de ses nombreux ouvrages, une grammaire espagnole qui devient bientôt un classique. Au cours des années, ses recherches et ses publications dans le domaine de la littérature et de la linguistique le met en contact avec des experts du monde entier et il devient membre d'Académies nationales de l'Équateur et d'Espagne. Malgré ces distinctions académiques, l'enseignement reste pour lui une priorité, en particulier les classes de religion et la préparation des garçons à la première communion. Ses élèves admirent sa simplicité, sa franchise, l'attention qu'il leur porte et l'intensité de sa dévotion au Sacré-Coeur et à la Vierge Marie. En 1907, il est appelé en Belgique pour travailler à la traduction en espagnol de textes à l'usage des Frères récemment exilés de France. Sa santé, toujours délicate, a du mal à s'adapter aux rigueurs du climat européen. Transféré au petit noviciat de Premia de Mar, en Espagne, il veille, lors des troubles révolutionnaires en 1909, à l'évacuation par mer, vers Barcelone, des jeunes dont il est chargé. Peu de temps après, il leur est possible de rentrer à Premià de Mar. Peu après, il contracte une pneumonie et il meurt à Premià de Mar, laissant après lui une réputation de savant, de pédagogue et de saint. Né à Cuenca, Équateur, le 7 novembre 1854, Entré au noviciat le 24 mars 1868, Mort le 9 février 1910, Béatifié le 30 octobre 1977, Canonisé le 21 octobre 1984 - Frères des écoles chrétiennes 10:03:35 PM |
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Le ministre allemand des Affaires étrangères, M. Joschka Fischer : “Nous partageons avec le Saint Siège une inquiétude profonde pour les conséquences humanitaires, les conséquences pour la stabilité régionale ainsi que pour la lutte contre le terrorisme” que provoquerait une intervention militaire contre l’Iraq." 9:16:44 PM |
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En cette heure de préoccupation internationale, nous ressentons tous le besoin de nous tourner vers le Seigneur pour implorer le grand don de la paix. Comme je l’ai révélé ans la Lettre apostolique Rosarium Virginis Mariae, “les difficultés que la perspective mondiale fait apparaître en ce début de nouveau millénaire nous conduisent à penser que seule une intervention d'en haut, capable d'orienter les cœurs de ceux qui vivent des situations conflictuelles et de ceux qui régissent le sort des Nations, peut faire espérer un avenir moins sombre" ...“De nombreuses initiatives de prière se déroulent ces jours-ci dans de nombreuses régions du monde. Je les encourage de tout cœur et je vous invite tous à tenir le chapelet en main et à invoquer l’intercession de la Très sainte Vierge: “On ne peut réciter le Rosaire sans se sentir entraîné dans un engagement précis de service de la paix”. 9:11:35 PM |
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