Jeudi le 20 mai 2004
L'Organisme catholique pour la vie et la famille (OCVF) exprimant son inquiétude quant à la possibilité que le ministère de la Santé permette l'abolition de la prescription pour la « pilule du lendemain » La grossesse commence dès la conception et non pas lors de l’implantation ou la nidation. Il est donc inexact de désigner cette pilule comme un « contraceptif d’urgence » étant donné que son effet peut être abortif. Les femmes ont le droit légitime de savoir que ce qui est décrit comme un « contraceptif d’urgence » peut provoquer, en réalité, un avortement précoce. Les facettes de l'utilisation de ce médicament peuvent-elles être abordées dans le contexte impersonnel d’une pharmacie, achalandée et bondée de monde ?... La « pilule du lendemain », une pilule à haut risque, contient une dose massive d’anovulant, et par définition, n’a pas été conçue pour être utilisée sur une base régulière. Si tel est le cas, quels sont les risques encourus pour la santé des femmes soumises à ce traitement, même une seule fois? Et qu’en est-il des femmes qui recourraient fréquemment à cette forme de « contraception d’urgence » sans supervision médicale? 10:38:22 AM |
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