Lundi le 19 juin 2006
C'est seulement si nous nous laissons constamment former par l'écoute de la Parole de Dieu et si nous nous nourrissons régulièrement du Corps et du Sang du Christ que nous pouvons transmettre aux autres l'amour de Dieu, qui est don de l'Esprit Saint... Que la charité anime toutes vos activités... Evangéliser aujourd'hui demande une connaissance responsable des instances culturelles modernes et un approfondissement constant de la sainte doctrine catholique. VIS 1:34:55 PM |
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Lectionnaire: - Naboth, de la ville d'Isréel, possédait une vigne à côté du palais d'Acab, roi de Samarie. Acab dit un jour à Naboth : « Cède-moi ta vigne ; elle me servira de jardin potager, car elle est juste à côté de ma maison ; je te donnerai en échange une vigne meilleure, ou, si tu préfères, je te donnerai l'argent qu'elle vaut. » Naboth répondit à Acab : « Que le Seigneur me préserve de te céder l'héritage de mes pères ! » Acab retourna chez lui sombre et irrité, parce que Naboth lui avait dit : « Je ne te céderai pas l'héritage de mes pères. » Il se coucha sur son lit, tourna son visage vers le mur, et refusa de manger. Sa femme Jézabel vint lui dire : « Pourquoi es-tu de mauvaise humeur ? Pourquoi ne veux-tu pas manger ? » Il répondit : « J'ai parlé à Naboth d'Isréel. Je lui ai dit : 'Cède-moi ta vigne pour de l'argent, ou, si tu préfères, pour une autre vigne en échange.' Mais il a répondu : 'Je ne te céderai pas ma vigne !' » Alors sa femme Jézabel lui dit : « Est-ce que tu es le roi d'Israël, oui ou non ? Lève-toi, mange, et retrouve ta bonne humeur : moi, je vais te donner la vigne de Naboth. » Elle écrivit des lettres au nom d'Acab, elle les scella du sceau royal, et elle les adressa aux anciens et aux notables de la ville où habitait Naboth. Elle avait écrit dans ces lettres : « Proclamez un jeûne, faites comparaître Naboth devant le peuple. Placez en face de lui deux individus sans scrupules, qui témoigneront contre lui : 'Tu as maudit Dieu et le roi !' Ensuite, faites-le sortir de la ville, lapidez-le, et qu'il meure ! » Les anciens et les notables qui habitaient la ville de Naboth firent ce que Jézabel avait ordonné dans ses lettres. Ils proclamèrent un jeûne et firent comparaître Naboth devant le peuple. Alors arrivèrent les deux individus qui se placèrent en face de lui et portèrent contre lui ce témoignage : « Naboth a maudit Dieu et le roi. » On fit sortir Naboth de la ville, on le lapida, et il mourut. Puis on envoya dire à Jézabel : « Naboth a été lapidé et il est mort. » Lorsque Jézabel en fut informée, elle dit à Acab : « Va, prends possession de la vigne de ce Naboth qui a refusé de la céder pour de l'argent, car il n'y a plus de Naboth : il est mort. » Quand Acab apprit que Naboth était mort, il se rendit à la vigne de Naboth et en prit possession. - Écoute mes paroles, Seigneur, comprends ma plainte ; entends ma voix qui t'appelle, ô mon Roi et mon Dieu ! Je me tourne vers toi, Seigneur, au matin, tu écoutes ma voix ; au matin, je me prépare pour toi et je reste en éveil. Tu n'es pas un Dieu ami du mal, chez toi, le méchant n'est pas reçu. Non, l'insensé ne tient pas devant ton regard. Tu détestes tous les malfaisants, tu extermines les menteurs ; l'homme de ruse et de sang, le Seigneur le hait. Pour moi, grâce à ton amour, j'accède à ta maison ; vers ton temple saint, je me prosterne, saisi de crainte. Seigneur, que ta justice me conduise ; des ennemis me guettent : aplanis devant moi ton chemin. Rien n'est vrai dans leur bouche, ils sont remplis de malveillance ; leur gosier est un sépulcre béant, et leur langue, un piège. [Dieu, traite-les en coupables : qu'ils échouent dans leurs projets ! Pour tant de méfaits, disperse-les, puisqu'ils te résistent.] Allégresse pour qui s'abrite en toi, joie éternelle ! Tu les protèges, pour toi ils exultent, ceux qui aiment ton nom. Toi, Seigneur, tu bénis le juste ; du bouclier de ta faveur, tu le couvres. - Vous avez appris qu'il a été dit : Oeil pour oeil, dent pour dent. Eh bien moi, je vous dis de ne pas riposter au méchant ; mais si quelqu'un te gifle sur la joue droite, tends-lui encore l'autre. Et si quelqu'un veut te faire un procès et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau. Et si quelqu'un te réquisitionne pour faire mille pas, fais-en deux mille avec lui. Donne à qui te demande ; ne te détourne pas de celui qui veut t'emprunter. 9:19:37 AM |
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