Lundi le 30 avril 2007
MESSAGE DU 1ER MAI Équilibre de vie à l'ère du numérique Comité des affaires sociales de l'AECQ
De tous les changements survenus dans la vie des travailleuses et des travailleurs au cours des dernières décennies, ceux qui sont liés à l'ordinateur sont peut-être les plus importants. À l’occasion de la fête des travailleuses et des travailleurs, le 1er mai 2007, le Comité des affaires sociales propose une réflexion sur un équilibre à atteindre entre la valeur du travail humain et les nouvelles technologies.
Lire le communiqué Message du 1er mai 5:00:31 PM |
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« Je suis venu pour que les hommes aient la vie, pour qu’ils l’aient en abondance » Malades, nous avons besoin du Sauveur ; égarés, de celui qui nous conduira ; assoiffés, de la source d'eau vive ; morts, nous avons besoin de la vie ; brebis, du berger ; enfants, de l’éducateur ; et toute l'humanité a besoin de Jésus… Si vous le voulez, nous pouvons comprendre la suprême sagesse du très saint pasteur et éducateur, qui est le Tout-Puissant et le Verbe du Père, lorsqu'il se sert d’une allégorie et se dit le pasteur des brebis ; mais il est aussi l'éducateur des tout-petits. C'est ainsi qu’il s'adresse longuement aux anciens, par l'intermédiaire d'Ezéchiel, et qu'il leur donne l'exemple de sa sollicitude : « Je soignerai celui qui est boiteux, et je guérirai celui qui est accablé ; je ramènerai celui qui s'est égaré, et je les ferai paître sur ma montagne sainte » (Ez 34,16). Oui, maître, conduis-nous vers les gras pâturages de ta justice. Oui, toi notre éducateur, sois notre pasteur jusqu'à ta montagne sainte, jusqu'à l'Eglise qui s'élève au-dessus des nuages, qui touche aux cieux. « Et je serai leur pasteur, dit-il, et je serai près d'eux » (Ez 34,12). Il veut sauver ma chair en la revêtant de la tunique d'incorruptibilité... « Ils m'appelleront, dit-il, et je dirai : Me voici » (Is 58,9)... Tel est notre éducateur ; il est bon avec justice. « Je ne suis pas venu pour être servi, dit-il, mais pour servir » (Mt 20,28). C'est pourquoi, dans l'Évangile, on nous le montre fatigué (Jn 4,5), lui qui se fatigue pour nous, et qui promet de « donner sa vie en rançon pour la multitude » (Mt 20,28). Il affirme que seul le bon pasteur agit ainsi. Quel donateur magnifique, qui donne pour nous ce qu'il a de plus grand : sa vie! Quel bienfaiteur, l'ami des hommes, qui a voulu être leur frère plutôt que leur Seigneur ! Et il a poussé la bonté jusqu'à mourir pour nous. Clément d'Alexandrie (150-vers 215), théologien Le Pédagogue, 9,83s ; (trad. SC 70, p. 258 ; cf Delhougne, p.63) 12:11:19 PM |
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Lectionnaire: - Les Apôtres et les frères qui étaient en Judée avaient appris que les nations païennes elles aussi avaient reçu la parole de Dieu. Lorsque Pierre fut de retour à Jérusalem, ceux qui venaient du judaïsme se mirent à discuter avec lui : « Tu es entré chez des hommes qui n'ont pas la circoncision, et tu as mangé avec eux ! » Alors Pierre reprit l'affaire depuis le début et leur exposa tout en détail : « J'étais dans la ville de Jaffa, en train de prier, et voici la vision que j'ai eue dans une extase : c'était un objet qui descendait. On aurait dit une grande toile ; venant du ciel jusqu'à moi, elle se posait par les quatre coins. Fixant les yeux sur elle, je l'examinai et je vis les quadrupèdes de la terre, les bêtes sauvages, les reptiles et les oiseaux du ciel. J'entendis une voix qui me disait : 'Allons, Pierre, immole ces bêtes et mange-les !' Je répondis : 'Certainement pas, Seigneur ! Jamais aucun aliment interdit ou impur n'est entré dans ma bouche.' Une deuxième fois, du haut du ciel la voix reprit : 'Ce que Dieu a déclaré pur, toi, ne le déclare pas interdit.' Cela recommença une troisième fois, puis tout fut remonté au ciel. Et voilà qu'à l'instant même, devant la maison où j'étais, survinrent trois hommes qui m'étaient envoyés de Césarée. L'Esprit me dit d'aller avec eux sans me faire de scrupule. Les six frères qui sont ici m'ont accompagné, et nous sommes entrés chez le centurion Corneille. Il nous raconta comment il avait vu dans sa maison l'ange qui venait lui dire : 'Envoie quelqu'un à Jaffa pour convoquer Simon surnommé Pierre. Il t'adressera des paroles par lesquelles tu seras sauvé, toi et toute ta maison.' Au moment où je prenais la parole, l'Esprit Saint s'empara de ceux qui étaient là, comme il l'avait fait au commencement pour nous. Alors je me suis rappelé la parole que le Seigneur avait dite : 'Jean a baptisé avec de l'eau, mais vous, c'est dans l'Esprit Saint que vous serez baptisés.' S'ils ont reçu de Dieu le même don que nous, en croyant au Seigneur Jésus Christ, qui étais-je, moi, pour empêcher l'action de Dieu ? » En entendant ces paroles, ils se calmèrent et ils rendirent gloire à Dieu, en disant : « Voici que les païens eux-mêmes ont reçu de Dieu la conversion qui fait entrer dans la vie. » - Comme un cerf altéré cherche l'eau vive, * ainsi mon âme te cherche toi, mon Dieu. Mon âme a soif de Dieu, le Dieu vivant ; * quand pourrai-je m'avancer, paraître face à Dieu ? Je n'ai d'autre pain que mes larmes, le jour, la nuit, * moi qui chaque jour entends dire : « Où est-il ton Dieu ? » Je me souviens, et mon âme déborde : * en ce temps-là, je franchissais les portails ! Je conduisais vers la maison de mon Dieu la multitude en fête, * parmi les cris de joie et les actions de grâce. R / Pourquoi te désoler, ô mon âme, et gémir sur moi ? * Espère en Dieu ! De nouveau je rendrai grâce : il est mon sauveur et mon Dieu ! * Si mon âme se désole, je me souviens de toi, * depuis les terres du Jourdain et de l'Hermon, depuis mon humble montagne. L'abîme appelant l'abîme à la voix de tes cataractes, * la masse de tes flots et de tes vagues a passé sur moi. Au long du jour, le Seigneur m'envoie son amour ; * et la nuit, son chant est avec moi, prière au Dieu de ma vie. Je dirai à Dieu, mon rocher : « Pourquoi m'oublies-tu ? * Pourquoi vais-je assombri, pressé par l'ennemi ? » Outragé par mes adversaires, je suis meurtri jusqu'aux os, * moi qui chaque jour entends dire : « Où est-il ton Dieu ? » R / Pourquoi te désoler, ô mon âme, et gémir sur moi ? * Espère en Dieu ! De nouveau je rendrai grâce : il est mon sauveur et mon Dieu ! - « Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans la bergerie sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-là est un voleur et un bandit. Celui qui entre par la porte, c'est lui le pasteur, le berger des brebis. Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir. Quand il a conduit dehors toutes ses brebis, il marche à leur tête, et elles le suivent, car elles connaissent sa voix. Jamais elles ne suivront un inconnu, elles s'enfuiront loin de lui, car elles ne reconnaissent pas la voix des inconnus. » Jésus employa cette parabole en s'adressant aux pharisiens, mais ils ne comprirent pas ce qu'il voulait leur dire. C'est pourquoi Jésus reprit la parole : « Amen, amen, je vous le dis : je suis la porte des brebis. Ceux qui sont intervenus avant moi sont tous des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés. Moi, je suis la porte. Si quelqu'un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra aller et venir, et il trouvera un pâturage. Le voleur ne vient que pour voler, égorger et détruire. Moi je suis venu pour que les hommes aient la vie, pour qu'ils l'aient en abondance. 10:51:03 AM |
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