Mercredi le 12 décembre 2007
A theology professor from the University of Notre Dame has taken sharp issue with the suppression of prophetic gifts in the modern Church -- blaming extremes in both liberal and conservative factions. The professor, Father Edward D. O'Connor, says in a new book, I Am Sending You Prophets, that friction between prophetic and institutional sides of the Church -- as well as the resistance of priests to laymen who appear to possess special "gifts" -- has all but eliminated practices that were common in the Church's first two centuries and practiced by Jesus.
Comment juger d'une révélation privée
A) Les règles de prudence à suivre dans les révélations privées
"… il faut imiter la sage réserve de l'Église et des Saints. L'Église n'admet de révélations que lorsqu'elles sont bien et dûment constatées et, même alors, elle ne les impose pas à la croyance des fidèles… elle attend de longues années avant de se prononcer, et ne se décide qu'après examiné mûrement la chose en elle-même, et dans ses rapports avec le dogme et la liturgie" (Cf. Précis d'ascétique et de mystique Tanquerey, no 1509).
"… rien de plus agréable au démon qu'une âme qui cherche les révélations et en est avide; c'est lui présenter toute facilité pour insinuer des erreurs et pour affaiblir la foi, et par là elle est le plus souvent exposée aux extravagances et aux fortes tentations (St Jean de la Croix Montée du Carmel)" (Cf. Précis d'ascétique et de mystique Tanquerey, no 1511).
"…les fausses révélations engendrent l'orgueil, la présomption, la désobéissance" (Cf. Précis d'ascétique et de mystique Tanquerey no 1504).
B) L'objet des révélations
"…C'est du côté de l'objet des révélations (privées) qu'il faut surtout faire porter son attention, car toute révélation contraire à la foi ou aux bonnes moeurs doit être impitoyablement rejetée, d'après l'enseignement unanime des Docteurs, fondé sur cette parole de St Paul: "Quand nous-même, quand un ange venu du ciel vous annoncerait un autre évangile que celui que nous vous avons annoncé, qu'il soit anathème" (Gal 1,8). Dieu ne peut en effet se contredire, ni révéler des choses contraires à ce qu'il nous enseigne par son Église… il faut regarder comme fausse toute révélation privée en contradiction avec une vérité de foi: telles sont, par exemple, les prétendues révélations spirites qui nient plusieurs de nos dogmes … il en est de même, si elles sont opposées à l'enseignement unanime de Pères et Théologiens, qui est une des formes du magistère ordinaire de l'Église" (Cf. Précis d'ascétique et de mystique Tanquerey, no 1501).
"Le but du magistère ecclésiastique est de conserver intacte et proclamer infailliblement la vérité révélée: [cf FC 103:la doctrine de la foi que Dieu a révélée, n'a pas été proposée comme une découverte philosophique à perfectionner par l'esprit des hommes, mais comme le dépôt divin, confié à l'épouse du Christ, pour qu'elle le garde fidèlement et le déclare infailliblement. En conséquence, le sens des dogmes sacrés qui doit toujours être conservé est celui que notre Mère la sainte Église a déterminé, et jamais il n'est loisible de s'en écarter sous le prétexte et au nom d'une intelligence plus profonde (FC 116: Si quelqu'un dit qu'il est possible que les dogmes proposés par l'Église se voient parfois, suivant le progrès de la science, un sens différent de celui que l'Église a compris et comprend encore, qu'il soit anathème). Saint Vincent de Lérins écrit: Que croissent… et progressent largement et intensément, pour chacun comme pour tous, pour un seul homme comme pour toute l'Église, selon le degré propre à chaque âge et à chaque temps, l'intelligence, la science, la sagesse, mais exclusivement dans leur ordre, dans la même croyance, dans le même sens et dans la même pensée.
L'objet premier et principal de la proclamation doctrinale par l'Église, ce sont les vérités et les faits immédiatement révélés. Mais l'infaillibilité doctrinale de l'Église s'étend aussi à toutes les vérités et à tous les faits qui découlent de la doctrine révélée ou en sont la condition préalable. Ces vérités et ces faits, non directement ni formellement révélés sont si étroitement en relations avec la vérité révélée que leur contestation met en péril la doctrine révélée…
Aux vérités catholiques appartiennent:
1º Les conclusions théologiques (on entend par là des vérités religieuses déduites de deux prémisses, dont l'une est directement révélée, tandis que l'autre est une vérité de raison).
2º Les faits dogmatiques (au sens strict c'est le fait qu'un texte déterminé est d'accord ou non avec le dogme catholique. L'Église juge, non pas sur l'intention subjective de l'auteur, mais sur le sens objectif du texte (D 1350)
3º Les vérités de raison (qui ne sont pas révélées, mais sont en relations étroites avec une vérité révélée, par exemple des vérités philosophiques qui forment une condition préalable naturelle à la foi (connaissance du transcendant, possibilité de prouver l'existence de Dieu, spiritualité de l'âme, liberté de la volonté) ou bien des concepts philosophiques sous lesquels est promulgué le dogme (personne, substance, transsubstantiation) L'Église a le droit et le devoir, pour protéger le bien de la foi, de condamner des doctrines philosophiques qui mettent directement ou indirectement le dogme en péril. (Cf. FC 100: l'Église a… le droit et le devoir de proscrire la pseudo-science (1 Tm 6,20) pour que nul ne soit la proie d'une philosophie qui n'est qu'une vaine tromperie (Col 2,8). C'est pourquoi tous les chrétiens fidèles non seulement n'ont pas le droit de défendre comme de légitimes conclusions de la science les opinions reconnues contraires à la doctrine de la foi, surtout quand l'Église les a réprouvées, mais ils sont strictement tenus de les considérer plutôt comme des erreurs parées de quelque trompeuse apparence de vérité" (Cf. Précis de Théologie dogmatique Louis Ott p 21-22). 4:09:21 PM |
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NOTRE-DAME de GUADALUPE
Patronne de l'Amérique Latine et des Amériques
Un samedi, 9 décembre 1531, un pieux Indien du nom de Juan Diego se rendait de son village à Mexico pour y satisfaire sa dévotion. Comme il passait au pied du Tepeyac, la plus haute des collines qui entourent la ville, il entendit tout à coup une musique céleste descendre jusqu'à lui.
Irrésistiblement attiré vers le sommet de la colline, il en fait l'ascension et dans une lumière resplendissante bordée d'un iris aux plus vives couleurs, il aperçoit une Dame incomparablement belle, souriante et radieuse de bonté:
«Juan, Mon fils bien-aimé, dit l'Apparition, où vas-tu?
— Madame, je vais à Mexico entendre la messe en l'honneur de la Vierge.
— Ta dévotion m'est agréable, reprit l'Inconnue; Je suis cette Vierge, Mère de Dieu. Je désire que l'on me bâtisse ici un temple magnifique d'où je répandrai mes faveurs et ferai voir ma compassion envers tous ceux qui m'invoqueront avec confiance. Va trouver l'évêque de Mexico pour l'instruire de ma volonté.»
Juan Diego se hâte de transmettre le message, mais le prélat le prend pour un illuminé et le congédie. Diego retourne au Tepeyac, y retrouve la Vierge qui le renvoie une seconde fois auprès de l'évêque. Cette fois, on lui ménage meilleur accueil, mais l'ecclésiastique exige quelque témoignage certain de la volonté du ciel.
Le dix décembre, Juan Diego revoit la Vierge qui promet le signe demandé pour le lendemain, mais Diego passe toute cette journée là auprès de son oncle gravement malade. Le douze décembre, pressé de trouver un prêtre à Mexico pour administrer les derniers sacrements au moribond, Diego passe rapidement devant la colline, mais au détour de la route, il se trouve subitement en présence de l'Apparition. «Ton oncle est guéri, dit la Très Sainte Vierge, va au haut de la colline cueillir des roses que tu donneras à l'évêque de Mexico.»
Ce n'était point la saison des fleurs et jamais la roche nue du Tepeyac n'avait produit de roses. L'humble paysan obéit néanmoins sans hésiter et trouva un merveilleux parterre de roses fraîches au sommet du monticule. Il en cueillit une brassée, et les tenant cachées sous son manteau, il s'achemina vers l'évêché. Lorsque Juan Diego fut introduit devant le prélat, deux miracles au lieu d'un frappèrent les yeux de l'évêque stupéfait: la gerbe de roses vermeilles et l'image de l'Apparition peinte à l'insu de Diego sur l'envers de son paletot. Aussitôt que leurs yeux rencontrèrent l'image bénie de la Sainte Vierge, tous les témoins du prodige tombèrent à genoux, muets de joie, sans pouvoir faire autre chose que d'admirer la beauté surhumaine de leur Mère du ciel. Se relevant, l'évêque enlève le manteau des épaules du pieux Mexicain et l'expose dans sa chapelle en attendant d'élever un sanctuaire qui puisse renfermer cette relique sacrée. Tous les habitants la ville se rassemblèrent à l'évêché pour honorer l'image miraculeuse que Marie elle-même venait de léguer si gracieusement à ses enfants de la terre.
Le jour suivant, treize décembre, l'évêque de Mexico se rendit sur la colline de l'Apparition suivi d'un grand concours de peuple. Il voulait voir l'endroit exact où la Très Sainte Vierge s'était montrée à son fils privilégié, Juan Diego. Ce dernier ne crut pas pouvoir le déterminer avec précision. Marie vint le tirer d'embarras par un nouveau miracle: une source jaillit soudainement, désignant le lieu précis de l'Apparition. Depuis, cette source n'a cessé de couler et d'opérer des guérisons miraculeuses.
La Reine du Ciel se montra une cinquième fois à son humble serviteur et lui révéla le titre sous lequel elle désirait être invoquée. «On m'appellera, dit-elle: Notre-Dame de Guadalupe». Ce mot venu d'Espagne, mais d'origine arabe, signifie: Fleuve de Lumière. Conformément à la demande de la Mère de Dieu, on éleva une grandiose basilique sur la colline du Tepeyac où l'on vénéra la sainte image de Marie imprimée dans le manteau du voyant. Tout au cours des âges, d'innombrables et éclatants miracles témoignèrent de l'inépuisable bonté de Notre-Dame de Guadalupe. Source
Les Apparitions et le Miracle
The Effect of the Image on the Aztecs
Mary appeared on Tepeyac Hill in 1531 to a new convert to Christianity, St. Juan Diego. This was the site of the temple of the pagan mother-goddess Tonantzin. The fact that the Mother of the true God appeared on Tepeyac Hill told the people that Mary was to replace Tonantzin and that Christianity was to replace the Aztec religion.
The effect of the image on the Aztecs reinforced the teachings of the Christian missionaries who were largely unsuccessful in converting the natives. The Aztecs were a highly visual people and therefore understood the great visual significance of this Image. They quickly understood that their religion was not the true religion of the true God and that they were now to embrace Christianity, brought to them by the Mother of God herself.
The image of Our Lady appeared on Juan’s cloak, or tilma, which was made of frail ayate material derived from the maguey plant. Normally, this material rots after twenty years or so yet this image remains intact to this day. It hangs in the Basilica of Our Lady of Guadalupe in Mexico City, the most visited Marian Shrine in the world.
*The Lady stood in front of the sun; the Aztecs therefore realized that she was greater than the dreaded sun-god Huitzilopochtli.
*Her foot rested on a crescent moon, which represents another goddess, the sister of Huitzilopochtli.
*The blue-green hue (jade) of her mantle was the color worn by Aztec royalty; therefore she was a Queen. Also jade was the stone that allowed the soul to reach the gods. Because Our Lady wore this jade color, she was accepted as the one who leads us to the one true God.
*The stars strewn across her mantle told the Aztecs that she was greater than the stars of heaven, which they worshipped as gods. Also, the constellation of stars on her mantle is the position of the stars in the sky of Dec. 12, l531. The stars appear impressed on her mantle reversed, that is from Heaven looking down to Earth.
*The gold border on her mantle and on the edge of her robe and embroidered cuffs signifies her royal dignity.
*For the Spaniards, the rose-colored robe is symbolic of martyrdom for the Faith and of divine love. For the Aztecs, this same color symbolized earth, blood and life.
It is lined with white ermine, which is the symbol of her purity and honor without stain (Spaniards). For the Aztecs, these were white feathers, symbolizing closeness to the gods.
*The stylized leaf and rosette design on her robe symbolized for the Aztecs, hills and mountains.
*At her waist, her garment is fastened by a “cingulum”. This was worn by unmarried women and removed only upon their marriage. It is a symbol of perfect virginity.
*The four-petaled flower over her womb was a symbol of plenitude, representing the four compass directions of the world, originating from the circle in the centre. Here, heaven and the underworld vertically encountered the earth in the center. Placed over Mary’s womb, the four-petaled flower announced that even though their Fifth Sun had died, the Sixth Sun was to be born of Mary of Guadalupe; her son Jesus Christ.
*For the Spaniards, the angel’s red, white and green feathered wings are emblematic of loyalty, faith and fidelity. His red tunic is a symbol of his love for her whose garments he holds. His position proclaims that the Ever Virgin Mary has been raised above the angels. However for the Aztecs, this figure did not represent an angel. The wings were seen as separate from the human image. These were seen as eagles’ wings, supporting the Woman. The eagle was the bird that represented the sun, the greatest of all the gods. She comes riding on eagles wings. Therefore, she comes riding on the wings of absolute truth. The human figure in front of the wings is Our Lady’s messenger to us. It is believed by many to represent St. Juan Diego. In his right hand, he holds the starred mantle (from heaven) while in his left hand, he holds the red dress (from earth). He is seen therefore as a messenger, linking heaven to earth. *Yet she could not be God herself since her hands were joined in prayer and her head was bowed in reverence, clearly to One greater than her. Her eyes are also looking downward, not forward, as they would if she was a goddess.
*The black cross displayed on the gold brooch at her neck was identical to the one emblazoned on the banners and helmets of the Spaniards, as if telling the Aztecs to embrace the religion of their conquerors.
*The Virgin’s head is inclined gracefully to the right, evading the center seam which would otherwise disfigure her face.
The mysterious eyes of the Virgin of Guadalupe (from the website: http://www.sancta.org . This is the official Guadalupan site from Mexico City)
According to many scientists who have inspected the image we can see reflected in her eyes, in both of them and in the precise location as reflected by a live human eye, many figures that have been extensively analyzed and seem to correspond to the shape and size of human figures located in front of the image.
In 1929, Alfonso Marcue, who was the official photographer of the old Basilica of Guadalupe in Mexico City, found what seemed to be a clear image of a bearded man reflected in the right eye of the Virgin. Initially he did not believe what was before his eyes. How could it be? A bearded man inside of the eyes of the Virgin?. After many inspections of many of his black and white photographs he had no doubts and decided to inform the authorities of the Basilica. He was told that time to keep complete silence about the discovery, which he did.
More than 20 years later, on May 29, 1951, Jose Carlos Salinas Chavez, examining a good photograph of the face, rediscovers the image of what clearly appears to be a bearded man reflected in the right eye of the Virgin, and locates it on the left eye too.
Since then, many people had the opportunity to inspect closely the eyes of the Virgin on the tilma, including more than 20 physicians, ophthalmologists.
The first one, on March 27, 1956, was Dr. Javier Torroella Bueno, MDS, a prestigious ophthalmologist. In what is the first report on the eyes of the image issued by a physician, he certifies the presence of the triple reflection (Samson-Purkinje effect) characteristic of all live human eyes and states that the resulting images are located exactly where they are supossed to be according to such effect, and also that the distortion of the images agree with the curvature of the cornea.
The same year another ophthalmologist, Dr. Rafael Torrija Lavoignet, examined the eyes of the image with an ophthalmoscope in great detail. He observed the apparent human figure in the corneas of both eyes, with the location and distortion of a normal human eye and specially noted a unique appearance of the eyes: they look strangely "alive" when examined.
Many other examinations by ophthalmologists have been done of the eyes of the image on the tilma after these first ones. With more or less details all agree with the conclusions of the ones mentioned above. According to Dr. Tonsmann, from left to right we can see "the Indian", "bishop Zumarraga", the "translator", "St. Juan Diego showing the tilma" and below "the family".
But a new and fascinating kind of analysis of the eyes started in 1979, when Dr. Jose Aste Tonsmann, Ph D, graduated from Cornell University, while working in IBM scanned at very high resolutions a very good photograph, taken from the original, of the face on the tilma (see below). After filtering and processing the digitized images of the eyes to eliminate "noise" and enhance them, he made some astonishing discoveries: not only the "human bust" was clearly present in both eyes, but another human figures were seen as reflected in the eyes too!
Dr. Aste Tonsmann published his last studies on the eyes on the tilma in the book "El Secreto de sus Ojos", with complete details and photographs of his work . Perhaps one of the most fascinating aspects of the studies is his conclusion that Our Lady of Guadalupe not only left us her miraculous image as proof of her apparition but some important messages too. These messages were hidden in the eyes on the image until our times, when new technologies would allow them to be discovered, when they are most necessary.
The family That would be the case with the image of a family in the center of the Virgin's eye, in times when families are under serious attack in our modern world. The image of various human figures that seem to constitute a family, including various children and a baby carried in the woman's back as used in the 16th century, appears in the center of the pupil.
Coatlaxopeuh vs. Molech - Nous lisons dans le Livre des Lévites comment le SEIGNEUR raconta à Moïse le grave crime de ceux qui offraient des enfants à Molech, se référant à la coutume de Canaan de sacrifier des enfants au dieu Molech. Les petites victimes étaient d’abord assassinées puis incinérées. (Voir Lévites 20,1-5 et 18,21) Aux Amériques, il y a cinq siècles de cela, le rituel le plus cruel en sacrifice humain jamais connu dans l’Histoire fut accompli par l’empire Aztèque. Entre 20,000 et 50,000 humains étaient sacrifiés chaque année. Ce rituel comprenait le cannibalisme des membres des victimes. La plupart d’entre eux étaient des captifs ou des esclaves, qui, de plus, incluaient aussi des femmes et des enfants. Le premier historien Mexicain Ixtlilxochitl estimait qu’un enfant sur cinq était sacrifié au Mexique. L’apogée de ces rituelles assassines survint en 1487 lors de la consécration du nouveau temple de Huitzilopochtli, somptueusement décoré de serpents, à Tenochtitlan ( maintenant Mexico) quand, lors d’une seule cérémonie qui dura quatre jours et quatre nuits , l’empereur Aztèque Tlacaellel, adorateur du démon, présida au sacrifice de plus de 80,000 hommes au son constant de tambours géants faits de peau de serpent. Notre Dame de Guadalupe écrasa ce serpent en 1531. Aujourd’hui, l’ancien Serpent a certainement accompli un autre chef d’oeuvre de ses rites de sang contre la vie humaine. Des millions d’enfants à naître sont tués chaque année dans le monde, par des procédés qui dans certains pays ne sont pas seulement légaux mais aussi officiellement soutenus et financés par le gouvernement. Dans de nombreux cas le procédé suit les mêmes règles que celles des sacrifices au dieu Molech: l’assasinat et l’incinération des petits enfants. Cette femme vêtue de soleil , figurant dans l’image de Notre Dame de Guadalupe, Protectrice des enfants à naitre, écrasera ce serpent à nouveau.
1531- L’année des apparitions à Juan Diego 1533- Le premier sanctuaire est érigé. 1541- Un prêtre franciscain, un des premiers historiens de la Nouvelle Espagne “Motolinia” écrit que quelque neuf millions d’Aztèques se sont convertis au Christianisme. 1548- Décès de Juan Diego.
Le paganisme existe toujours aujourd'hui - Un article dans le journal Santa Rosa Sun (juillet 1993) a fait un rapport sur le Culte de Canaan et la légende de Moloch en usage au Bohemian Club. Le Culte Païen de Moloch est un sacrifice humain. (âmes sensibles vous pouvez vous abstenir de suivre ce lien... c'est un exemple frappant, parmi d'autres - il est important de savoir que le malin existe, et il est surtout important de confier la conversion du Monde à l'intercession de Marie auprès de son Fils, vrai Dieu et vrai homme, Jésus le seul sauveur de l'humanité)
"Que ton coeur ne soit pas troublé. N’aie pas peur de cette maladie ni d’aucune autre maladie ou angoisse. Ne suis-je pas là, moi qui suis ta Mère? N’es-tu pas sous ma protection? Ne suis-je pas ta santé? Ne reposes-tu pas heureux en mon sein? Que désires-tu de plus? Ne sois pas malheureux ou troublé par quoi que ce soit" (Paroles de Notre Dame à Juan Diego) 7:11:03 AM |
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Lectionnaire
Livre d'Isaïe 40,25-31.
A qui donc pourriez-vous me comparer, qui pourrait être mon égal ? dit le Dieu Saint. Levez les yeux et regardez : qui a créé tout cela ? Celui qui déploie toute l'armée des étoiles, et les appelle chacune par son nom. Si grande est sa force, et telle est sa puissance qu'il n'en manque pas une. Pourquoi parles-tu ainsi, Jacob ? Israël, pourquoi affirmes-tu : « Mon chemin est caché à mon Dieu, le Seigneur néglige mon bon droit » ? Tu ne le sais donc pas, tu ne l'as pas appris ? Le Seigneur est le Dieu éternel, c'est lui qui crée la terre entière, il ne faiblit pas, il ne se lasse pas. Son intelligence est insondable. Il rend des forces à l'homme épuisé, il développe la vigueur de celui qui est faible. Les jeunes gens se fatiguent, se lassent, et les athlètes s'effondrent, mais ceux qui mettent leur espérance dans le Seigneur trouvent des forces nouvelles ; ils prennent leur essor comme des aigles, ils courent sans se lasser, ils avancent sans se fatiguer.
Psaume 103(102),1-2.3-4.8.10.
Bénis le Seigneur, ô mon âme, bénis son nom très saint, tout mon être ! Bénis le Seigneur, ô mon âme, n'oublie aucun de ses bienfaits ! Car il pardonne toutes tes offenses et te guérit de toute maladie ; il réclame ta vie à la tombe et te couronne d'amour et de tendresse ; Le Seigneur est tendresse et pitié, lent à la colère et plein d'amour ; il n'agit pas envers nous selon nos fautes, ne nous rend pas selon nos offenses.
Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 11,28-30.
«Venez à moi, vous tous qui peinez sous le poids du fardeau, et moi, je vous procurerai le repos. Prenez sur vous mon joug, devenez mes disciples, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez le repos. Oui, mon joug est facile à porter, et mon fardeau, léger. »
Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris 5:34:36 AM |
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